athlètisme-02
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Les coureurs doivent se pencher en avant et franchir chaque haie de façon fluide de manière à ne pas casser le rythme de la course. La jambe qui passe en premier doit être presque droite lorsqu’elle touche le sol ; à ce moment-là, l’autre jambe forme pratiquement un angle droit avec le corps. La course de haies exige rapidité, souplesse et une excellente coordination des mouvements.
Parmi les grands coureurs de haies se détache Edwin Moses, à la longévité exceptionnelle, qui domina le 400 m haies de 1977 à 1987. En France, Guy Drut fut champion olympique en 1976.
3- COURSES DE DEMI-FOND
Les épreuves du 600 au 3 000 m sont appelées courses de demi-fond. Les courses les plus appréciées sont le 800 m, le 1 500 m, le mile et le 3 000 m.
Les coureurs de demi-fond doivent savoir gérer leur vitesse afin de ne pas s’épuiser. Ils peuvent changer plusieurs fois d’allure dans une course, ou s’efforcer de maintenir la même allure sur tout le parcours.
Jules Ladoumègue fut dans les années 1920 une grande vedette du demi-fond français, mais c’est l’école britannique qui fut longtemps la meilleure du monde, avec par exemple Sebastian Coe et Steve Ovett dans les années 1980.
4- COURSES DE FOND
Les courses de plus de 3 000 m sont appelées courses de fond. Les plus éprouvantes sont le cross-country et le marathon. À la différence des autres courses de fond, qui se déroulent sur un stade, le cross-country a lieu en campagne. Compte tenu de la diversité des conditions et des lieux, il n’existe pas de record mondial dans cette discipline. Les marathons se déroulent habituellement sur route goudronnée. Dans ces deux épreuves, les coureurs doivent être capables d’effectuer des ascensions modérées à petites foulées et de descendre rapidement sans violence et sans casser leur rythme, en conservant une allure régulière.
Les noms de Jean Bouin, de Paavo Nurmi, champion olympique du 5 000 m en 1924 et du 10 000 m en 1928, puis de grands
champions des années 1950, d’Emil Zatopek, champion olympique du 5 000 m, du 10 000 m et du marathon en 1952, de Vladimir Kuts, d’Alain Mimoun, vainqueur du marathon en 1956, sont restés en mémoire ; leur ont succédé Kip Keino dans les années 1960, puis Lasse Viren dans les années 1970, alors que dominent aujourd’hui les athlètes africains, notamment marocains, avec Noureddine Morcelli, et éthiopiens.
Les courses de cross-country dépassent rarement 15 km. Le marathon, en revanche, est une discipline très exigeante qui se dispute sur 42,195 km. Des marathons annuels, ouverts à tous, se déroulent dans les rues et les parcs de Paris, New York, Chicago et Londres.
5- COURES DE RELAIS
Les courses de relais sont des épreuves par équipes ; chacun des quatre coureurs effectue une distance imposée, appelée relais, puis passe le témoin, bâton rigide et creux, à un coéquipier. Le passage du témoin doit s’effectuer dans une zone de 18 m. Dans l’idéal, le receveur et le passeur doivent courir à leur vitesse maximale et se trouver à environ 2 m l’un de l’autre au moment de la transmission du bâton.
Parmi les grands coureurs de haies se détache Edwin Moses, à la longévité exceptionnelle, qui domina le 400 m haies de 1977 à 1987. En France, Guy Drut fut champion olympique en 1976.
3- COURSES DE DEMI-FOND
Les épreuves du 600 au 3 000 m sont appelées courses de demi-fond. Les courses les plus appréciées sont le 800 m, le 1 500 m, le mile et le 3 000 m.
Les coureurs de demi-fond doivent savoir gérer leur vitesse afin de ne pas s’épuiser. Ils peuvent changer plusieurs fois d’allure dans une course, ou s’efforcer de maintenir la même allure sur tout le parcours.
Jules Ladoumègue fut dans les années 1920 une grande vedette du demi-fond français, mais c’est l’école britannique qui fut longtemps la meilleure du monde, avec par exemple Sebastian Coe et Steve Ovett dans les années 1980.
4- COURSES DE FOND
Les courses de plus de 3 000 m sont appelées courses de fond. Les plus éprouvantes sont le cross-country et le marathon. À la différence des autres courses de fond, qui se déroulent sur un stade, le cross-country a lieu en campagne. Compte tenu de la diversité des conditions et des lieux, il n’existe pas de record mondial dans cette discipline. Les marathons se déroulent habituellement sur route goudronnée. Dans ces deux épreuves, les coureurs doivent être capables d’effectuer des ascensions modérées à petites foulées et de descendre rapidement sans violence et sans casser leur rythme, en conservant une allure régulière.
Les noms de Jean Bouin, de Paavo Nurmi, champion olympique du 5 000 m en 1924 et du 10 000 m en 1928, puis de grands
champions des années 1950, d’Emil Zatopek, champion olympique du 5 000 m, du 10 000 m et du marathon en 1952, de Vladimir Kuts, d’Alain Mimoun, vainqueur du marathon en 1956, sont restés en mémoire ; leur ont succédé Kip Keino dans les années 1960, puis Lasse Viren dans les années 1970, alors que dominent aujourd’hui les athlètes africains, notamment marocains, avec Noureddine Morcelli, et éthiopiens.
Les courses de cross-country dépassent rarement 15 km. Le marathon, en revanche, est une discipline très exigeante qui se dispute sur 42,195 km. Des marathons annuels, ouverts à tous, se déroulent dans les rues et les parcs de Paris, New York, Chicago et Londres.
5- COURES DE RELAIS
Les courses de relais sont des épreuves par équipes ; chacun des quatre coureurs effectue une distance imposée, appelée relais, puis passe le témoin, bâton rigide et creux, à un coéquipier. Le passage du témoin doit s’effectuer dans une zone de 18 m. Dans l’idéal, le receveur et le passeur doivent courir à leur vitesse maximale et se trouver à environ 2 m l’un de l’autre au moment de la transmission du bâton.
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